« Mais personne n’en parle : entre eux, les enfants n’évoquent jamais la guerre, comme si ces trois années n’avaient pas existé. À tel point que pendant très longtemps, Evelyn ne se sent pas légitime pour s’exprimer en tant qu’ancienne déportée. Ce n’est qu’en 2010, lorsqu’elle reçoit une liste où son nom est inscrit noir sur blanc parmi ceux d’autres personnes déportées à Bergen-Belsen, que cette déportation prend soudainement corps, qu’elle devient réelle. Evelyn vit désormais à Paris. » Cf https://lesderniers.org/temoin/evelyn-2/

Elle est venu pour témoigner sur son enfance volée, sur l’oubli et sur l’engagement.